~ * # O # * ~
Zack se pétrifia instantanément et se trouva sur ses gardes, Pasquale était dans la maison de, sa famille qui n'était pas présente et elle se trouvait seule avec lui. Il l'avait retrouvée, par contre, contrairement à la dernière fois elle n'avait pas l'intention de rester sans rien faire, elle rêvait de vengeance depuis de nombreux mois.
- Ah.. Pasquale, ce n'est que toi. Dit-elle en essayant d'avoir l'air le plus déçu possible.
- Et oui, je suis venu terminer un travail qui devrait être fini depuis longtemps. Lui répondit-il un rictus aux lèvres.
- Quel travail? Ah oui, ce que tu avais commencé il y a 18 mois, je t'avoues que je m'attendais à ce que tu me retrouves bien plus rapidement. Je me suis ennuyée à mourir en t'attendant.
- Dis moi, tu as bien changé depuis la dernière fois que je t'ai vu. La présence de mes hommes de main te manque-t-elle donc? Ils t'ont suivis lors de ta petite ballade de tout à l'heure, et attendes gentiment à l'extérieur.
- Hum, c'est donc cela les bruits dans la forêt. Tu veux que je te remercies?
- Oh non ce ne sera pas la peine, tu n'en auras pas le temps. Tu veux crier un peu pour la forme ou je termine ça maintenant?
- Tu crois m'avoir aussi facilement ? Le provoqua-t-elle malgré ses jambes flageolantes.
- Bien plus que tu le crois. Pour la simple et bonne raison que si tu tentes quelque chose, ce n'est pas toi qui souffrira le plus, mais ta famille. \o/
- Ma famille?
- Et bien, pourquoi crois-tu que je suis ici? Ta famille a bien voulu me suivre lorsque je leur ai dit que cela leur permettrais de te revoir. D'ailleurs ils semblaient savoir que tu étais en vie.
- Vous êtes vraiment un salaud. Lança-t-elle en sentant l'angoisse monter en elle.
- Voyons, je ne fais que mon boulot.
- Connard.
- Ah oui? Écoute moi bien, je vais t'expliquer ce que l'on va faire. Ce sera comme la dernière fois dans l'entrepôt. J'ai 15 hommes posté aux sorties de la maison, tu ne peux donc pas t'enfuir. On va s'amuser un peu avec toi, et après, et bien, on en finira avec toi. Ce que l'on aurait dû faire la première fois. Compris?
- Haha, et comme la dernière fois, tu n'y arriveras pas.
- Passons aux choses sérieuse. Déclara-t-il froidement en se tournant vers la porte. Andreï, je te la laisse. Ne lui fait rien de trop grave, nous devons nous amuser le plus possible avec elle.
- Compter sur moi Monsieur!
Andreï ?
Ce monstre sans une once d'humanité, avec elle? Ce monstre à qui elle devait la plupart des marques sur son corps? Celui qui lui avait enlevé le statut d'être humain pour l'abaisser plus bas qu'un animal?
Il n'en était pas question!!!
Furieuse, elle chercha quelque chose du regard. Elle se rendit compte qu'inconsciemment, pendant sa 'joute' verbal avec Pasquale, elle s'était rapproché de la cheminée. Tant mieux. Peut-être pouvait-elle être plus rapide qu'eux.
Elle examina la situation et se rendit compte que Pasquale ne la regardait pas, et Andreï, quant à lui était trop loin pour tenter quelque chose. Prenant une subite impulsion elle attrapa aisément le tisonnier et en se retournant elle frappa Pasquale au crâne qui s'écroula dans un bruit mate.
Pendant ce temps, Andreï avait continué d'avancer vers eux, mais n'avait pu intervenir avant que le coup ne projette son patron au sol. Puis, voyant une marre de sang s'élargir sur le carrelage beige, et son patron ne toujours pas reprendre connaissance, qu'il reprit ses esprits en se jetant sur la jeune femme qui avait presque rejoint la porte. L'attrapant par le col de la chemise, il la projeta contre le meuble d'angle. Malgré le fait qu'elle soit sonné, elle se releva de suite et s'avança vers lui tout en donnant des coups dans le vide pour l'empêcher d'avancer trop près. Le combat venait seulement de commencer et pourtant elle était déjà à bout de force et en nage. Le combat était inégal et quiconque le regardait s'en rendrait compte.
Poussant le cri d'une bête blessée, Zack prit appuie sur l'un de ces pieds et tenta d'enfoncer le tisonnier dans son agresseur. Peut importe l'endroit tant que cela pouvait lui faire mal. Ce dernier poussa un râle et relâcha les cheveux qu'il avait enroulé autour de sa main pour avoir une emprise sur Zack. Lorsqu'il s'accroupit en l'insultant de tout les noms elle en profita pour s'évader. L'espoir la gagnait. Puis voulant reprendre un peu de souffle, elle se redressa et vit, comme le lui avait annoncé Pasquale, une quinzaine de ces agents. Elle était faite. L'espoir seulement gagné s'envola et laissa place au désespoir. Mais elle n'allait pas se laisser faire! Alors là non! Depuis 18 mois elle emmagasinait jour après jour de la haine, il était temps que cette dernière ressorte. Mais elle devait tout de même s'avouer que c'était surtout plus suicidaire qu'autre chose. Malgré tout, elle disposait d'un avantage de taille face à ses adversaires, elle connaissait le terrain comme sa poche.
Environs quatre hommes de la garde privé de Pasquale arrivait en courant vers elle, prenant son courage à deux mains [ Bon aller, je l'aide, ça lui en fait 4 UoU ], et s'avança vers eux, arme en main. Ne restait plus qu'à espérer qu'ils ne soient pas armé d'armes à feu.
Subitement, ils entendirent le bruit d'un véhicule. La maison étant isolée au milieu de la forêt, les visites étaient très rare. Surpris, les hommes de main s'arrêtèrent et se regardèrent déconcertés. Zack partit en s'élançant vers la gauche, là où personne ne se trouvait, et où, pour une personne ne connaissant pas cette endroit ne se trouvait rien, avec aucune possibilité de s'enfuir. Malheureusement pour eux, il y avait un petit passage secret que Zack utilisait souvent avec ses frères et soeurs durant leur enfance.
Ils comprirent un peu trop tard leur erreur, et 3 nouveaux hommes de main s'élancèrent à sa poursuite, armés.
Elle allait pénétrer dans la forêt lorsqu'une détonation retentit, elle jura, puis blanchit lorsqu'elle sentit quelque chose lui transpercer le bras gauche. Elle n'était pas assez dans la merde, il fallait encore qu'elle se prenne une balle.
Etant toujours sous l'adrénaline du moment, elle ne sentait pas la douleur et elle continua sa course effrénée.
Dans la forêt elle avait peut-être plus de chance de leur échapper. Du moins durant un certain temps. La forêt n'était pas trop grande, ils n'auraient donc pas besoin dela chercher bien longtemps.
Lorsqu'elle vit la grotte où elle se cachait enfant, elle décida d'y déposer sa veste, en espérant ne pas se faire attraper avant qu'elle ait pu atteindre l'endroit qu'elle cherchait.
Plusieurs minutes plus tard, les cris des gardes avaient disparu, et elle en profita pour se cacher dans un bosquet qui mériterait bien d'être rafraichit.
Maintenant elle devait réfléchir calmement, ne plus bouger et se calmer. Tout d'abord, commencer par appeler la police. Elle essayait de prendre son téléphone lorsqu'un élancement se fit sentir dans son bras gauche. La douleur arrivait, et avec la fin de la montée d'adrénaline venait aussi l'épuisement.
Après mainte gesticulation, elle parvint à attraper son téléphone qu'elle posa soigneusement sur ses genoux. Puis elle entreprit de faire un garo à son bras. Pour cela elle arracha une lanière sur le bas de son tee-shirt comme elle l'avait mainte fois vu lors des films. Elle se souvint de ses cours de secourisme et termina son point de compression rapidement, et sans se faire trop mal.
Il ne lui restait plus qu'à appeler la police.
Elle tapa les numéros d'une main tremblante et patienta jusqu'à ce que l'on prenne son appel. C'est toujours dans les cas d'extrême urgence que l'on ne prend pas notre appel è___é
Enfin, une voix masculine retentit à l'autre bout du téléphone.
- Au secours!
- Bonjour, vous êtes bien au standard téléphonique du 119, que puis-je pour vous?
- UoU Je suis séquestrée par un Russe du nom de Pasquale Gorhb. Ses hommes de main sont aussi ici.
- Bien, et où vous trouvez-vous?
- A Houston, au 6 chemin du Lac!!
- D'accord, et que vous veux ce Mr Gorhb?
- Se venger!!! Je lui ai échapper il y a longtemps et il veut se venger! Aidez moi bon sang!!!
- Mademoiselle, le 119, n'est pas une blague, j'espère que vous ne trouvez pas ça drôle!
- Quoi ? Mais que...
Biiiiiip
Il avait raccroché?!!!!
Ce con lui avait raccroché au nez alors qu'elle avait besoin d'aide?
Qu'elle était cette injustice? Il voulait la laissée mourir ici?
Mais, pourquoi avait-il fait ça??
Sentant le désespoir naitre de nouveau en elle, des larmes commencèrent à couler de ses yeux, et elle se retrouva bientôt à sangloter.
Elle prit de nouveau son téléphone et tapa un numéro qui sans savoir pourquoi, elle connait par coeur.
Au bout de la seconde sonnerie une voix retentit, c'était tout de même plus rapide que les secours américain, malgré l'Océan qui les séparait.
- Moshi Moshi ? Akanishi Jin desu !
- Jin? Ta..Tasukete!!
- Zack?!!!!
Brusquement elle entendit des personnes parlant russes, elle raccrocha brusquement, et tenta de maitriser les sanglots qui la secouait.
- Aaaaah, ça fait chier, le boss va nous tuer si on ne peut pas retrouver cette salope!
Une voix se fit entendre d'un peut plus loin, elle eu du mal à comprendre de quoi il parlait.
- Les gars! Retourner auprès du Boss! Il vient de se réveiller et vous demande!!!
- Bien reçu chef!
Des pas s'éloignèrent et Zack soupira de soulagement, et en profita pour étendre un peut ses jambes qui étaient toutes crispées. Quelques feuilles se froissèrent sous ses jambes quand elle entendit un rire mauvais juste au dessus d'elle et levant la tête elle vit Andreï qui l'observait. Vu leur position à eux deux, il était inutile de penser à s'enfuir. Elle était tomber dans la piège tête la première.
- Alors comme ça tu croyais pouvoir m'échapper ma jolie? Je suis déçu, je te croyais plus intelligente. Tu te demandes comment nous t'avons trouver aussi rapidement? Oh ma chérie que tu peux être stupide. Le sang! Ce n'est pas un blouson posé dans une grotte qui va nous empêcher de suivre les traces abondantes de ton sang. Retournons à la maison, il est temps que la fête commence.
- Ah.. Pasquale, ce n'est que toi. Dit-elle en essayant d'avoir l'air le plus déçu possible.
- Et oui, je suis venu terminer un travail qui devrait être fini depuis longtemps. Lui répondit-il un rictus aux lèvres.
- Quel travail? Ah oui, ce que tu avais commencé il y a 18 mois, je t'avoues que je m'attendais à ce que tu me retrouves bien plus rapidement. Je me suis ennuyée à mourir en t'attendant.
- Dis moi, tu as bien changé depuis la dernière fois que je t'ai vu. La présence de mes hommes de main te manque-t-elle donc? Ils t'ont suivis lors de ta petite ballade de tout à l'heure, et attendes gentiment à l'extérieur.
- Hum, c'est donc cela les bruits dans la forêt. Tu veux que je te remercies?
- Oh non ce ne sera pas la peine, tu n'en auras pas le temps. Tu veux crier un peu pour la forme ou je termine ça maintenant?
- Tu crois m'avoir aussi facilement ? Le provoqua-t-elle malgré ses jambes flageolantes.
- Bien plus que tu le crois. Pour la simple et bonne raison que si tu tentes quelque chose, ce n'est pas toi qui souffrira le plus, mais ta famille. \o/
- Ma famille?
- Et bien, pourquoi crois-tu que je suis ici? Ta famille a bien voulu me suivre lorsque je leur ai dit que cela leur permettrais de te revoir. D'ailleurs ils semblaient savoir que tu étais en vie.
- Vous êtes vraiment un salaud. Lança-t-elle en sentant l'angoisse monter en elle.
- Voyons, je ne fais que mon boulot.
- Connard.
- Ah oui? Écoute moi bien, je vais t'expliquer ce que l'on va faire. Ce sera comme la dernière fois dans l'entrepôt. J'ai 15 hommes posté aux sorties de la maison, tu ne peux donc pas t'enfuir. On va s'amuser un peu avec toi, et après, et bien, on en finira avec toi. Ce que l'on aurait dû faire la première fois. Compris?
- Haha, et comme la dernière fois, tu n'y arriveras pas.
- Passons aux choses sérieuse. Déclara-t-il froidement en se tournant vers la porte. Andreï, je te la laisse. Ne lui fait rien de trop grave, nous devons nous amuser le plus possible avec elle.
- Compter sur moi Monsieur!
Andreï ?
Ce monstre sans une once d'humanité, avec elle? Ce monstre à qui elle devait la plupart des marques sur son corps? Celui qui lui avait enlevé le statut d'être humain pour l'abaisser plus bas qu'un animal?
Il n'en était pas question!!!
Furieuse, elle chercha quelque chose du regard. Elle se rendit compte qu'inconsciemment, pendant sa 'joute' verbal avec Pasquale, elle s'était rapproché de la cheminée. Tant mieux. Peut-être pouvait-elle être plus rapide qu'eux.
Elle examina la situation et se rendit compte que Pasquale ne la regardait pas, et Andreï, quant à lui était trop loin pour tenter quelque chose. Prenant une subite impulsion elle attrapa aisément le tisonnier et en se retournant elle frappa Pasquale au crâne qui s'écroula dans un bruit mate.
Pendant ce temps, Andreï avait continué d'avancer vers eux, mais n'avait pu intervenir avant que le coup ne projette son patron au sol. Puis, voyant une marre de sang s'élargir sur le carrelage beige, et son patron ne toujours pas reprendre connaissance, qu'il reprit ses esprits en se jetant sur la jeune femme qui avait presque rejoint la porte. L'attrapant par le col de la chemise, il la projeta contre le meuble d'angle. Malgré le fait qu'elle soit sonné, elle se releva de suite et s'avança vers lui tout en donnant des coups dans le vide pour l'empêcher d'avancer trop près. Le combat venait seulement de commencer et pourtant elle était déjà à bout de force et en nage. Le combat était inégal et quiconque le regardait s'en rendrait compte.
Poussant le cri d'une bête blessée, Zack prit appuie sur l'un de ces pieds et tenta d'enfoncer le tisonnier dans son agresseur. Peut importe l'endroit tant que cela pouvait lui faire mal. Ce dernier poussa un râle et relâcha les cheveux qu'il avait enroulé autour de sa main pour avoir une emprise sur Zack. Lorsqu'il s'accroupit en l'insultant de tout les noms elle en profita pour s'évader. L'espoir la gagnait. Puis voulant reprendre un peu de souffle, elle se redressa et vit, comme le lui avait annoncé Pasquale, une quinzaine de ces agents. Elle était faite. L'espoir seulement gagné s'envola et laissa place au désespoir. Mais elle n'allait pas se laisser faire! Alors là non! Depuis 18 mois elle emmagasinait jour après jour de la haine, il était temps que cette dernière ressorte. Mais elle devait tout de même s'avouer que c'était surtout plus suicidaire qu'autre chose. Malgré tout, elle disposait d'un avantage de taille face à ses adversaires, elle connaissait le terrain comme sa poche.
Environs quatre hommes de la garde privé de Pasquale arrivait en courant vers elle, prenant son courage à deux mains [ Bon aller, je l'aide, ça lui en fait 4 UoU ], et s'avança vers eux, arme en main. Ne restait plus qu'à espérer qu'ils ne soient pas armé d'armes à feu.
Subitement, ils entendirent le bruit d'un véhicule. La maison étant isolée au milieu de la forêt, les visites étaient très rare. Surpris, les hommes de main s'arrêtèrent et se regardèrent déconcertés. Zack partit en s'élançant vers la gauche, là où personne ne se trouvait, et où, pour une personne ne connaissant pas cette endroit ne se trouvait rien, avec aucune possibilité de s'enfuir. Malheureusement pour eux, il y avait un petit passage secret que Zack utilisait souvent avec ses frères et soeurs durant leur enfance.
Ils comprirent un peu trop tard leur erreur, et 3 nouveaux hommes de main s'élancèrent à sa poursuite, armés.
Elle allait pénétrer dans la forêt lorsqu'une détonation retentit, elle jura, puis blanchit lorsqu'elle sentit quelque chose lui transpercer le bras gauche. Elle n'était pas assez dans la merde, il fallait encore qu'elle se prenne une balle.
Etant toujours sous l'adrénaline du moment, elle ne sentait pas la douleur et elle continua sa course effrénée.
Dans la forêt elle avait peut-être plus de chance de leur échapper. Du moins durant un certain temps. La forêt n'était pas trop grande, ils n'auraient donc pas besoin dela chercher bien longtemps.
Lorsqu'elle vit la grotte où elle se cachait enfant, elle décida d'y déposer sa veste, en espérant ne pas se faire attraper avant qu'elle ait pu atteindre l'endroit qu'elle cherchait.
Plusieurs minutes plus tard, les cris des gardes avaient disparu, et elle en profita pour se cacher dans un bosquet qui mériterait bien d'être rafraichit.
Maintenant elle devait réfléchir calmement, ne plus bouger et se calmer. Tout d'abord, commencer par appeler la police. Elle essayait de prendre son téléphone lorsqu'un élancement se fit sentir dans son bras gauche. La douleur arrivait, et avec la fin de la montée d'adrénaline venait aussi l'épuisement.
Après mainte gesticulation, elle parvint à attraper son téléphone qu'elle posa soigneusement sur ses genoux. Puis elle entreprit de faire un garo à son bras. Pour cela elle arracha une lanière sur le bas de son tee-shirt comme elle l'avait mainte fois vu lors des films. Elle se souvint de ses cours de secourisme et termina son point de compression rapidement, et sans se faire trop mal.
Il ne lui restait plus qu'à appeler la police.
Elle tapa les numéros d'une main tremblante et patienta jusqu'à ce que l'on prenne son appel. C'est toujours dans les cas d'extrême urgence que l'on ne prend pas notre appel è___é
Enfin, une voix masculine retentit à l'autre bout du téléphone.
- Au secours!
- Bonjour, vous êtes bien au standard téléphonique du 119, que puis-je pour vous?
- UoU Je suis séquestrée par un Russe du nom de Pasquale Gorhb. Ses hommes de main sont aussi ici.
- Bien, et où vous trouvez-vous?
- A Houston, au 6 chemin du Lac!!
- D'accord, et que vous veux ce Mr Gorhb?
- Se venger!!! Je lui ai échapper il y a longtemps et il veut se venger! Aidez moi bon sang!!!
- Mademoiselle, le 119, n'est pas une blague, j'espère que vous ne trouvez pas ça drôle!
- Quoi ? Mais que...
Biiiiiip
Il avait raccroché?!!!!
Ce con lui avait raccroché au nez alors qu'elle avait besoin d'aide?
Qu'elle était cette injustice? Il voulait la laissée mourir ici?
Mais, pourquoi avait-il fait ça??
Sentant le désespoir naitre de nouveau en elle, des larmes commencèrent à couler de ses yeux, et elle se retrouva bientôt à sangloter.
Elle prit de nouveau son téléphone et tapa un numéro qui sans savoir pourquoi, elle connait par coeur.
Au bout de la seconde sonnerie une voix retentit, c'était tout de même plus rapide que les secours américain, malgré l'Océan qui les séparait.
- Moshi Moshi ? Akanishi Jin desu !
- Jin? Ta..Tasukete!!
- Zack?!!!!
Brusquement elle entendit des personnes parlant russes, elle raccrocha brusquement, et tenta de maitriser les sanglots qui la secouait.
- Aaaaah, ça fait chier, le boss va nous tuer si on ne peut pas retrouver cette salope!
Une voix se fit entendre d'un peut plus loin, elle eu du mal à comprendre de quoi il parlait.
- Les gars! Retourner auprès du Boss! Il vient de se réveiller et vous demande!!!
- Bien reçu chef!
Des pas s'éloignèrent et Zack soupira de soulagement, et en profita pour étendre un peut ses jambes qui étaient toutes crispées. Quelques feuilles se froissèrent sous ses jambes quand elle entendit un rire mauvais juste au dessus d'elle et levant la tête elle vit Andreï qui l'observait. Vu leur position à eux deux, il était inutile de penser à s'enfuir. Elle était tomber dans la piège tête la première.
- Alors comme ça tu croyais pouvoir m'échapper ma jolie? Je suis déçu, je te croyais plus intelligente. Tu te demandes comment nous t'avons trouver aussi rapidement? Oh ma chérie que tu peux être stupide. Le sang! Ce n'est pas un blouson posé dans une grotte qui va nous empêcher de suivre les traces abondantes de ton sang. Retournons à la maison, il est temps que la fête commence.